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Version du 8 avril 2014 à 10:07
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Titre de la page à remplacer : Séisme et alerte au tsunami, avril 2014
Sommaire |
Contexte
Depuis quelques jours, le Chili et ses pays voisins sont touchés par divers séismes d’intensité majeure. La série d’articles qui suivent présentent divers aspects de la gestion des risques séisme et tsunami par l’État chilien. Sont mis à disposition des communiqués de presse, des photos, des explications pédagogiques, etc., nous permettant de comprendre de façon globale l’approche gestion de crise et les méthodes que peut mettre en place un pays tel que le Chili lors d’événements majeurs de ce type.
Situation géographique
Le Chili s’étend sur 4 265 km du nord au sud, et d’ouest en est sur une bande de terres comprise entre 15 km (à Puerto Natales, au sud du pays) et 350 km (à Antofagasta au nord). Son littoral, bordé presque entièrement par l’océan Pacifique, et pour une courte portion par l’océan Atlantique, est long de 5 338 km.
Le pays est entouré par l’Argentine (plus de 5 000 km de frontière commune), la Bolivie et le Pérou. Le désert d’Atacama, situé au nord du pays, est le désert le plus aride du monde. L’île de Pâques, annexée par le Chili en 1888, située à 3 700 km de ses côtes, dispose depuis 2007 d’un statut de territoire spécial.
Source: http://www.diplomatie.gouv.fr
Évènements marquants
Modélisation des phénomènes séisme/tsunami
Gestion de crise, évènements d'avril 2014
Communiqués officiels en temps réel
- Communiqué du Mardi 1 avril 2014 / 22:31, heure locale
A traduire
- Communiqué du Mercredi 2 avril 2014 / 03:25, heure locale
Dans le dernier point presse effectué par l’ONEMI[1], le Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité Publique, Rodrigo Peñailillo, a informé que l’alarme tsunami a été levée entre les villes de d’Antofagasta et de Valparaíso (île de San Félix et archipel de Juan Fernández inclus mais île de Pâques exclue).
D’autre part, cinq personnes sont décédées, trois à Iquique et deux à Alto Hospicio. Jusque-là, aucune autre victime n’a été reportée.
Hormis onze hôpitaux évacués car se situant en zone inondée, tous les centres hospitaliers de la zone affectée fonctionnent normalement. Le Ministère de la Santé a diffusé ses instructions quant au renforcement du système de soins prévu à l’intention de la population, pendant toute la durée de la crise.
Dans ce même contexte, le deuxième étage de l’Hôpital Régional d’Iquique est pour le moment fermé. Toutefois, les autres services se sont réorganisés afin de pouvoir répartir et accueillir tous les patients de cet étage.
Parallèlement, les aéroports sont globalement opérationnels. Le trafic devrait reprendre totalement une fois que l’alarme sera levée. Jusque-là, des interruptions ont été reportées sur l’autoroute 5 nord, entre Iquique et Arica. La situation devrait se rétablir dans quelques heures, en début de matinée.
Les vols commerciaux au départ d’Antofagasta en direction du nord sont annulés jusqu’à ce que l’alerte tsunami soit levée. Pour le moment, aucun dommage n’a été reporté en ce qui concerne les ponts et les infrastructures routières. La situation dans les ports est pour l’instant normale, bien que l’on attende les premières évaluations précises dans la matinée.
Les systèmes de télécommunications d’urgence entre le Comité National d’Opérations d’Urgence et ses différents pairs à l’échelle régionale ont fonctionné sans interruptions, conservant un lien permanent de type visioconférence avec les autorités et le SHOA[2].
Pour assurer la sécurité des personnes et des biens, les policiers disposent d’un renfort d’effectifs des Forces Spéciales de Santiago et d’un appui de l’armée de l’air. Concernant l’évasion de la population pénale de la prison des femmes d’Iquique, plusieurs effectifs se sont déployés pour rechercher les personnes manquantes.
La Présidente de la République a décrété l’état de catastrophe naturelle et a confié la responsabilité aux différents chefs de la Défense Civile, d’assurer l’ordre et la sécurité des personnes et des biens. Cela jusqu’au rétablissement total de la situation.
- Communiqué du Jeudi 3 avril 2014 / 00:41, heure locale
A traduire
Les presses locale et nationale
Les réseaux sociaux
Les réseaux sociaux sont exploités non seulement par les citoyens mais aussi par les institutions gouvernementales ou encore les associations telles que la croix rouge. Les sites les plus dynamiques ne sont autres que les plus connus et utilisés actuellement: Twitter, Facebook et Instagram. On y retrouve divers contenus et supports selon le profil. Les citoyens sont nombreux à poster des photos, des vidéos et à exprimer leurs réactions et émotions. Quant aux professionnels, ils profitent de l'affluence et de la réactivité de ces réseaux pour partager leur instructions, recommandations, etc,. Voici quelques exemples:
DÉFENSE CIVILE CHILIENNE VIA TWITTER
CROIX ROUGE CHILIENNE VIA TWITTER
Ajouter illustrations Facebook, Instagram
Youtube, site de vidéo-partage et autre média social proche des réseaux sociaux n'est pas laissé à l'écart. Cependant, la qualité et la pertinence des vidéos proposées ne sont pas toujours au rendez-vous. Beaucoup de vidéos truquées où les images et vidéos présentées datent d'événements antérieurs y figurent.
Enseignements
Notes et références
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[1]ONEMI: Office National d'Urgence du Ministère de l'Intérieur et Sécurité Publique
[2]SHOA: Service Hydrographique et Océanographique de la Marine Chilienne
Note : d'autres personnes peuvent avoir contribué au contenu de cet article, [Consultez l'historique]. |