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(Rappel des faits)
(Rappel des faits)
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Source: Idé
 
Source: Idé
  
Mardi 1er avril 2014, un tremblement de terre de magnitude 8,2 a eu lieu à environ 89 kilomètres, et à 46 kilomètres de profondeur, au large de la ville d'Iquique, dans le nord du Chili.
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Mardi 1er avril 2014, un premier tremblement de terre de magnitude 8,2 a touché le nord du Chili. L'épicentre était situé à environ 89 kilomètres au large des côtes de la ville d'Iquique et à 46 kilomètres de profondeur. Ce séisme a provoqué un début de tsunami sur les côtes chiliennes ainsi qu'au Japon.
 
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Le lendemain, une puissante réplique de magnitude 7,6 a de nouveau touché le nord du pays, à une vingtaine de kilomètres cette fois, au sud de la ville d'Iquique.
Vingt-quatre heures après un précédent séisme de magnitude 8,2, qui a provoqué un début de tsunami sur les côtes chiliennes ainsi qu'au Japon, une puissante réplique de magnitude 7,6 a touché le nord du pays, à une vingtaine de kilomètres au sud de la ville d'Iquique, mercredi 2 avril.
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== Évènements marquants passés ==
 
== Évènements marquants passés ==

Version du 8 avril 2014 à 16:28

Titre de la page à remplacer : Séisme et alerte au tsunami, avril 2014

Sommaire

Rappel des faits

Séisme chili, avril 2014.jpg

Source: Idé

Mardi 1er avril 2014, un premier tremblement de terre de magnitude 8,2 a touché le nord du Chili. L'épicentre était situé à environ 89 kilomètres au large des côtes de la ville d'Iquique et à 46 kilomètres de profondeur. Ce séisme a provoqué un début de tsunami sur les côtes chiliennes ainsi qu'au Japon. Le lendemain, une puissante réplique de magnitude 7,6 a de nouveau touché le nord du pays, à une vingtaine de kilomètres cette fois, au sud de la ville d'Iquique.

Évènements marquants passés

Séisme de magnitude 8.8, 27 février 2010

Le séisme le plus marquant de 2010 au Chili est celui du 27 février, qui a eu lieu vers 3 h 30 heure locale dans le centre du Chili. L'épicentre se trouvait dans l'océan Pacifique, à seulement quelques kilomètres des côtes et environ 300 kilomètres au sud-ouest de la capitale chilienne: Santiago du Chili. L'USGS (United States Geological Survey) a estimé sa magnitude à 8.8 sur l'échelle de Richter. Située à 115 kilomètres, la ville la plus proche est Concepción.

Le séisme a été ressenti jusqu'à la capitale. Dans les régions les plus sinistrées, des bâtiments se sont effondrés, l'électricité ainsi que le téléphone ont été coupés. Parallèlement, une alerte au tsunami a été lancée pour plusieurs des pays qui bordent l'océan Pacifique. Le bilan établi dénombre 525 personnes décédées ou portées disparues.

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27 février 2010, Concepción, Chili - Photo: Jose Luis Saavedra


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27 février 2010, Talca, Chili - Victor Ruiz Caballero


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27 février 2010, Concepción, Chili - Photo: Jose Luis Saavedra


Séisme chili, 2010jpg.jpg

28 février 2010, Pelluhue, Chili - Photo: Roberto Candia


Séisme de magnitude 9.5, 22 mai 1960

Le séisme de 1960 au Chili est celui le plus puissant jamais enregistré. Sa magnitude était de 9,5 et il fut suivi d'un tsunami dévastateur dans plusieurs pays bordant l'océan Pacifique. Il a fait 1500 morts au Chili, une soixantaine à Hawaï et 130 au Japon.

Modélisation des phénomènes séisme/tsunami

Gestion de crise, évènements d'avril 2014

Obtention des informations, données

Communication au grand public

Communiqués officiels en temps réel

  • Communiqué du Mardi 1 avril 2014 / 22:31, heure locale

A traduire

  • Communiqué du Mercredi 2 avril 2014 / 03:25, heure locale

Dans le dernier point presse effectué par l’ONEMI[1], le Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité Publique, Rodrigo Peñailillo, a informé que l’alarme tsunami a été levée entre les villes de d’Antofagasta et de Valparaíso (île de San Félix et archipel de Juan Fernández inclus mais île de Pâques exclue).

D’autre part, cinq personnes sont décédées, trois à Iquique et deux à Alto Hospicio. Jusque-là, aucune autre victime n’a été reportée.

Hormis onze hôpitaux évacués car se situant en zone inondée, tous les centres hospitaliers de la zone affectée fonctionnent normalement. Le Ministère de la Santé a diffusé ses instructions quant au renforcement du système de soins prévu à l’intention de la population, pendant toute la durée de la crise.

Dans ce même contexte, le deuxième étage de l’Hôpital Régional d’Iquique est pour le moment fermé. Toutefois, les autres services se sont réorganisés afin de pouvoir répartir et accueillir tous les patients de cet étage.

Parallèlement, les aéroports sont globalement opérationnels. Le trafic devrait reprendre totalement une fois que l’alarme sera levée. Jusque-là, des interruptions ont été reportées sur l’autoroute 5 nord, entre Iquique et Arica. La situation devrait se rétablir dans quelques heures, en début de matinée.

Les vols commerciaux au départ d’Antofagasta en direction du nord sont annulés jusqu’à ce que l’alerte tsunami soit levée. Pour le moment, aucun dommage n’a été reporté en ce qui concerne les ponts et les infrastructures routières. La situation dans les ports est pour l’instant normale, bien que l’on attende les premières évaluations précises dans la matinée.

Les systèmes de télécommunications d’urgence entre le Comité National d’Opérations d’Urgence et ses différents pairs à l’échelle régionale ont fonctionné sans interruptions, conservant un lien permanent de type visioconférence avec les autorités et le SHOA[2].

Pour assurer la sécurité des personnes et des biens, les policiers disposent d’un renfort d’effectifs des Forces Spéciales de Santiago et d’un appui de l’armée de l’air. Concernant l’évasion de la population pénale de la prison des femmes d’Iquique, plusieurs effectifs se sont déployés pour rechercher les personnes manquantes.

La Présidente de la République a décrété l’état de catastrophe naturelle et a confié la responsabilité aux différents chefs de la Défense Civile, d’assurer l’ordre et la sécurité des personnes et des biens. Cela jusqu’au rétablissement total de la situation.

  • Communiqué du Jeudi 3 avril 2014 / 00:41, heure locale

A traduire

Les presses locale et nationale

A compléter

Les réseaux sociaux

Les réseaux sociaux sont exploités non seulement par les citoyens mais aussi par les institutions gouvernementales ou encore les associations telles que la croix rouge. Les sites les plus dynamiques ne sont autres que les plus connus et utilisés actuellement: Twitter, Facebook et Instagram. On y retrouve divers contenus et supports selon le profil. Les citoyens sont nombreux à poster des photos, des vidéos et à exprimer leurs réactions et émotions. Quant aux professionnels, ils profitent de l'affluence et de la réactivité de ces réseaux pour partager leur instructions, recommandations, etc,. Voici quelques exemples:

DÉFENSE CIVILE CHILIENNE VIA TWITTER

DEFENSA CIVIL VIA TWITTER.JPG

CROIX ROUGE CHILIENNE VIA TWITTER

CRUZ ROJA POR TWITTER.JPG

Ajouter illustrations Facebook, Instagram

Youtube, site de vidéo-partage et autre média social proche des réseaux sociaux n'est pas laissé à l'écart. Cependant, la qualité et la pertinence des vidéos proposées ne sont pas toujours au rendez-vous. Beaucoup de vidéos truquées où les images et vidéos présentées datent d'événements antérieurs y figurent.

Enseignements

Notes et références

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[1]ONEMI: Office National d'Urgence du Ministère de l'Intérieur et Sécurité Publique

[2]SHOA: Service Hydrographique et Océanographique de la Marine Chilienne


Le créateur de cet article est Adeline Bordais
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